[Hetalia]-Je reviendrai te voir, c'est promis!

Hetalia ne m'appartient pas,Attention c'est du Angst/tragédie, donc c'est triste et ça contient beaucoup de feels, contient aussi du character-death, ça vient de spoiler mais ceux qui connaissent Hetalia savent de toute façon que ça devait finir comme ça, même dans l'animé ce moment est tellement triste!C'est une de mes premières fic, donc désolé pour les fautes,me tapez pas >^< C'est un problème récurent,un jour j'arriverais à m'en défaire! Sur ce, enjoy!


Sur ces mots,Saint Empire Romain Germanique se retourna et rejoignit ses hommes,passant outre leurs regards surpris. Italie, à cette époque sous le joug d'Autriche et nommé "Chibitalia", car elle n'était qu'une enfant-nation, le regarda s'éloigner, les larmes aux yeux. Elle était heureuse, car il a promis qu'il reviendrait, pour elle .Une douce sensation se propagea dans son petit buste, c'était chaud, moelleux et ça la mettait de bonne humeur, mieux que d'habitude. Elle les regarda partir au loin,et retourna à ses tâches,tout en chantant sa fameuse chanson, Marukaite Chikyuu!, où en bon français, Trace un cercle,c'est la Terre!(beaucoup moins classe) sous la surveillance d'Autriche et de la jolie Hongrie, attendrie par l'idylle des deux enfants. Italie passait le clair de son temps libre à chanter, dessiner si bien grâce à l'enseignement de Papi Rome où à rêver, à rêver du moment ou il reviendrait, victorieux, un fier sourire étirant son visage,ses yeux bleus pétillant. Bref, un visage rayonnant. A cette pensé Autriche en bon grincheux,lui pria d'arrêter de sourire bêtement et que non, ce midi non plus il n'y aurait pas de pasta au déjeuné. Ces mots coupa net la joie de vivre de la petite Italie qui laissa échappé un long cri de désespoir à cause du repas sans pasta,et retourna à ses affaires.

Pendant ce temps, du côté de HRE( Holy Roman Empire, non parce que les initiales en français ça fait SERG, c'est tellement moins classe).


La bataille était plus dure que prévu. Partout où il regardait,St Empire Romain Germanique ne voyait que sang, et désolation. Des cadavres,empilés les uns sur les autres jonchaient le sol,les corbeaux sur les arbres attendant patiemment que les combats cessent pour aller dépouiller et se délecter des morts. Les hommes, encore en vie luttaient jusqu'à leur dernier souffle,en vain. Cette idée révolta la petite nation,il ne devait pas mourir maintenant, pas après avoir dit ça à Italie, il lui avait promis de revenir,il le ferai, coute que coute! St Empire se releva et planta rageusement son épée dans le buste d'un ennemi, auréolant l'uniforme d'un liquide écarlate et acre. Il retira son épée d'un coup sec et hurla à ses hommes de continuer à se battre. Il gagna du terrain vers la personnification de l’état qu'il combattait, il savait précisément ce qu'il devait faire, atteindre le plus haut gradé, le tuer du moins le blesser gravement pour que la troupe ennemie batte en retraite. St Empire se stoppa soudain net,ce n'était pas compliqué, dans la bouche de son mentor, mais en vrai? Et s'il n'y arrivait pas? S'il ne revenait pas? Il secoua la tête pour chasser ses idées sombres et reparti à l'assaut. Il devait absolument positiver, certes la mort partout était présente autour de lui, mais il n'avait pas pour autant envie d'y passer, maintenant, il avait quelque chose à perdre.St Empire se rua sur un général, qui para ses coups facilement,la petite nation esquiva comme elle pu, puis profitant de sa petite taille passa entre les jambes de son ennemi, lui coupant les tendons au passage pour finir par lui planter son épée dans le dos. St Empire regarda triomphalement le corps s'affaisser pour finir par tomber dans la boue, au côtés de milles autres. Il ne vit pas, un autre homme venir se placer derrière lui, il n'entendit pas un de ses hommes lui crier de parer ou de fuir, dans sa tête tout était déjà gagné, il pourrait revenir, comme promis. Tout à coup la cruelle réalité le rattrapa, il sentit une vive douleur traverser son corps entier, ses genoux s'affaissèrent d'eux-même, il eu le souffle coupé et sa vision se troubla.Il lui mis main à terre, et vit alors la pointe de l'épée ennemie s'enlever de son buste, son sang perlant celle-ci. Il avait beau, étant une nation,un pouvoir d'auto-guérison, il savait pertinemment que cette blessure là, ne se refermerai pas en plein milieu d'un champs de bataille.

-Non..Pas ça..Pas maintenant...Je..Je dois y aller! Je ne peux pas briser cette promesse! Pensa St Empire et rampant avec difficulté hors des combats

Les larmes montèrent, la douleur allait crescendo, sa vision devint de plus en plus floue, il cracha du sang et continua d'avancer. Ne pas abandonner, il se devait de continuer, même si c'était en rampant tant pis,il irai, quoi qu'il arrive, il irai. Bientôt ses membres se raidirai, et ses membres ne bougeraient plus. Il devait se reposer pour récupérer. St Empire s'assit un peu plus loin sur une petite colline et ferma les yeux.


Saint Empire Romain Germanique reposa là, pour longtemps. Malheureusement il ne put jamais rejoindre Italie.

FIN!


Nyahaha~j'aime tellement l'Angst/Tragédie!
J'posterai peut-être plus tard le moment ou Italie apprend sa mort.

Voilà j'ai tout lu !

Franchement c'est très sympa, d'une certaine façon ça ma fait penser Code geass, j'ai bien aimé ce message :

Citation :

St Empire Romain Germanique ne voyait que sang, et désolation. Des cadavres,empilés les uns sur les autres jonchaient le sol,les corbeaux sur les arbres attendant patiemment que les combats cessent pour aller dépouiller et se délecter des morts.

Belle description, qui représente bien la désolation :p
J'attends la suite avec impatience, mais il est mort à la fin ou à l'épisode 2 il va s'en sortir ? x)

LoïcDigitalArt a écrit:

Voilà j'ai tout lu !

Franchement c'est très sympa, d'une certaine façon ça ma fait penser Code geass, j'ai bien aimé ce message :

Citation :

St Empire Romain Germanique ne voyait que sang, et désolation. Des cadavres,empilés les uns sur les autres jonchaient le sol,les corbeaux sur les arbres attendant patiemment que les combats cessent pour aller dépouiller et se délecter des morts.

Belle description, qui représente bien la désolation :p
J'attends la suite avec impatience, mais il est mort à la fin ou à l'épisode 2 il va s'en sortir ? x)

Merci!! C'est ma première donc par définition c'est de la me.de !
Bah en fait j'vais pas te spoiler, mais vu que c'est Hetalia ça va être une suite qui pour ceux ne connaissant pas va paraître étrange. Mais finalement j'pense que j'vais écrire une "mini-suite".

C'est pas mal. Juste le découpage des paragraphes qui est un peu lourd.
ça me donne presque envie de regarder ce que c'est que Hetalia.

Merci! ^^ C'est ma première fic (mais j'ai fait beaucoup de Rp avant).
Ça me donne de plus en plus envie d'écrire la suiiite!

Tu t'es inspirée de quelque chose pour faire ça ?

J'ai revu ce passage de l'animé (enfin juste la scène d'adieu) et sinon suppose que les nombreuses fanfic' Hetalia que j'ai lu ont dû bien aider xD

Allez suite et fin!
Je préfère re-préciser Hetalia ne m'appartient pas (encore,mais un jour!)

Un homme sentit l'odeur d'un combat, et se dirigea vers celle-ci. Il chevauchait un grand cheval noir aux crins de jais qui contrastait avec la chevelure de neige de son cavalier, le riche uniforme de celui-ci laissait deviner qu'il devait s'agir qu'il faisait parti du corps de l'armée, et qu'il était hautement gradé. Et pas n'importe quelle armée! Non! La fière armée Prussienne! Et d'ailleurs ça tombait bien, car cet homme était justement la personnification de la Prusse, où Preußen pour les germaniste. L'auto-proclamé awesome nation!Accompagné de son poussin tout aussi awesome, Gilbird il était parti de lui-même à la recherche de son petit frère.



Il s'avança et découvrit le champs de bataille, laissé tel quel par les vainqueurs. Il descendit de sa monture et remua le terrain entièrement pour retrouver son frère. Il y passerait sa vie s'il le fallait, mais il le retrouverai quoi qu'il arrive! Après une bonne journée de recherche intense, il le vit. Il était là, allongé sur l'herbe déchiquetée, les yeux paisiblement clos. Il semblait tellement tranquille, il était si pâle, que cela fit peur à Prusse.



La nation pris l'enfant contre lui, il se retenait de ne pas pleurer. Pourquoi faire ça à un enfant-nation, si jeune? Il ne devait même pas avoir 10 ans d'âge physique,même si son véritable âge en tant que nation devait être bien plus. Prusse devait se rendre à l'évidence, Saint Empire Romain Germanique,son petit frère, était mort aujourd'hui. S'il se réveillerait, ce serait sous une autre identité. Il enfouie sa tête dans l'épaule du plus jeune, il ne devait pas pleurer, ce n'était absolument pas awesome du tout!

Du côté de Chibitalia~

Astiquer, nettoyer, faire briller ! Voilà les tâches quotidiennes d'Italie dans la maison du grincheux Autriche. Il y avait vécu depuis la chute d'Empire Romain, son grand-père. Il avait décidé de rester ici pour une raison, l'attendre. Et aussi car il était trop tôt pour une réunification avec son grand-frère, Italie du Sud, en "esclavage" comme il disais chez Royaume d'Espagne. Il avait bien grandit depuis, il devait avoir à présent 15 ans d'âge physique, et donc sa voix avait mué, permettant à son entourage de se rendre compte que, oui, c'était bien un garçon, enfin surtout à ce vieux bougre d'Autriche.
Un jour où il était à l'étage, en train de se cacher pour échapper aux insupportables leçons de piano du maitre de maison, il entendit la sonnette de la porte d'entrée. Tout de suite, Italie se mit à la fenêtre et aperçut Prusse tout de suite accueillit par Hongrie, qui lui indiqua de monter dans la pièce d'à côté de celle où se cachait le jeune homme et où était déjà le pianiste. La curiosité est un vilain défaut, le personnage principal de ce nouveaux point de vue en est le meilleur exemple car il surprit une conversation qi ne le laissa pas indifférent.



Italie hoqueta au nom de son aimé, et colla un peu plus son oreille au mur le séparant des deux autres hommes. Cela faisait si longtemps qu'il n'avait pas eu de nouvelles, Prusse savait-il quelque chose?!




A ce stade de la phrase, les yeux d'Italie piquèrent, il ne savait pas pourquoi, il avait soudain un mauvais pressentiment. Il se persuada que tout allait bien, en se répétant des mots doux dans sa langue maternelle, comme son Nonno* Roma avait l'habitude de faire pour chasser les monstres quand il était plus jeune.




Beaucoup de temps? Oh mon dieu...Pas de panique, tout va bien, il y a un "mais", c'est censé être positif dans cette phrase non? Non? Oh faites qu'il aille bien et qu'il rentre sain et sauf... pria Italie dans sa tête, recroquevillé en boule,tremblant de toute son âme, à deux doigts d'éclater en sanglot.


Celui-ci entoura ses genoux avec ses bras, enfouit sa tête dedans, et pleura silencieusement. Une vive douleur lui lacérait la poitrine, il avait un goût acre dans la bouche et sa tête tournait,comme si son âme essayait de d'échapper à la réalité. Saint Empire Romain Germanique n'était plus...Il ne serait plus jamais là. ces sombres pensées résonnaient dans la tête d'Italie, il avait l'impression qu'elles se bousculaient à l'intérieur de son crâne, assez fort pour lui causer de terrible maux de tête. Soudain, Italie sortit en trombes de sa cachette, les mains sur le crâne, les larmes inondant ses beaux yeux ambres. Prusse et Autriche l'entendirent dévaler l'escalier principal en pleurs, Hongrie entendit des sanglots et des hoquetements violents, sans avoir le temps de comprendre ce qui se passait, elle aperçut le jeune homme frêle courir, loin, crier sa douleur là où personne ne le verrait pleurer et ne tenterait quoi que ce soit. Pour le moment, il avait juste besoin de digérer l'information sans être dérangé. Ils lui avaient tous dit "Abandonne, ne te fais pas trop d'espoir avec lui" il ne les avait pas écouter en répétant "Il va revenir! Il m'a fait une promesse tout de même!" Mensonge.Mensonge.Mensonge.  Italie arriva finalement à la rivière où tout avait commencé entre-eux, leur rencontre et là où ils avaient passés les plus beaux instants ensemble.A cette époque, ils étaient ensemble, il était là .Il regarda son visage, rougit par les larmes et sa bouche encore tordu et tremblante de douleur et de peine. Il s'agenouilla, près de l'eau, laissa ses larmes rejoindre l'étendue d'eau et murmura:



*Nonno= Papie en Italien, d'après Google Trad.
Merci d'avoir lu!

La suite est encore mieux que la première partie !
J'ai l'impression que tu retranscris bien l'univers d'Hetalia.
Dommage que ce soit difficile à lire sur le forum...

Clique sur la touche "ctrl" + "la roulette de la souris" tu verras ça aide bien pour lire

Je sais qu'on peut zoomer... C'est pas ça le problème.

Ha mais je pensais que tu ne savais pas, perso moi ça m'aide beaucoup x)

Merci!! Hetalia c'est trop génial! Je ferai d'autres fanfic sur c't'animé! Je sais pas encore de quoi ça parlera, mais j'en referai!